Ils veulent vendre les bijoux de famille !
Un peu quand même !
On le sait, c'est nous qui l'avons écrit !
Ce n'est pas un effet de bord, c'est le 100 % Sécu !
Jusque là, tout va bien…
Il a raison !
Nous aussi !
Très bien ! Nous sommes d'accord ! C'est terminé !
Mais c'est très long, madame la présidente !
Et le sirop d'érable ?
Raffarin, qui est-ce ?
C'est une journée de niche ! Vos propos sont scandaleux !
À la saint-glinglin !
À la saint-glinglin ?
Un peu de respect, monsieur le ministre !
C'est juste !
Seulement pour le sirop d'érable !
Vous avez peur de la démocratie !
Voilà un gaulliste !
Bravo José !
C'est sûr !
Il a raison !
Qui peut croire cela ?
Les assurances ?
Ce n'est pas assez !
Il faut un fonds dédié !
Il faut un peu de financement !
Il faut un financement pérenne !
La souveraineté alimentaire ne se décrète pas. Reprendre la main sur notre destin alimentaire et agricole exigera plus que des déclarations d'intention et un texte insuffisant qui renvoient les sujets fondamentaux à de futures lois. Depuis des mois, les agriculteurs l'affirment : pour se relever, l'agriculture française a besoin de bras et d'un cap. En l'espace d'un demi-siècle, elle a subi un plan social massif, perdant de nombreux emplois agricoles et accusant la disparition de 800 000 exploitations. Cette grande transformation a conduit les exploitations à s'agrandir, sous les effets d'une politique agricole commune (PAC) davantage tournée vers ...
Vivement que vous soyez au chômage !
Je remercie Karine Lebon pour son intelligence et son énergie, qu'elle met tous les jours au service du groupe GDR. La composante ultramarine du groupe est pour nous une richesse considérable, qui fait aussi l'originalité de notre apport. Édouard Philippe a parlé, à propos du logement, de « bombe sociale ». C'est vrai pour l'ensemble du territoire, mais force est de constater que seuls les territoires ultramarins ont des logements neufs indécents. Cela justifie de se concentrer sur eux. Il faut pour cela disposer des prérogatives d'une commission d'enquête, avec notamment la possibilité d'enquêter sur place et sur pièces. J'ai bon espoir, après avoir entendu ...
Vous ne pouvez pas faire ce procès au groupe GDR !
On ne parle pas comme ça chez moi.
Chez nous, pas tellement !
Je conclus brièvement : je partage aussi l'idée du maillage territorial de l'offre de formation en licence professionnelle à partir des villes moyennes, car cela permet aux mômes de chez nous de se former mieux.
Il faut savoir reconnaître cette spécificité de l'enseignement agricole, d'autant qu'il s'agit d'établissements conventionnés et donc contrôlés par la puissance publique. Permettre aux lycées privés d'offrir cette formation diplômante ne me semble pas poser un problème.
Je me réjouis que le mot « bachelor », produit d'une novlangue décalée et absent du vocabulaire reconnu par l'éducation nationale, ait été retiré, le Conseil d'État ayant recommandé de se séparer de cette mauvaise référence. La commission a été sage de supprimer ce terme, d'autant qu'il ne correspond pas à la culture du monde agricole, où jamais personne ne parle de bachelor. En revanche, nous partageons l'objectif politique affiché de monter en qualification, grâce à une licence professionnelle agricole –– je pense qu'il faudra conserver cette appellation et je souscris à l'amendement défendu par le groupe Horizons sur ce sujet. Enfin, je suis ...
Dans l'histoire de la Ve République, on compte peu de recteurs communistes, mais il y en a eu quelques-uns. L'un d'entre eux, Jean Gallot, a beaucoup compté dans l'histoire de notre département – le mien et celui de Gérard Leseul – et dans mon histoire personnelle. Il a assez vite compris que les jeunes de condition modeste, issus d'un milieu ouvrier ou d'un milieu rural, étaient encouragés à poursuivre des études lorsque celles-ci étaient organisées en étapes successives. Le BTS ou encore le DUT, diplôme universitaire de technologie, pouvaient constituer ces marches indispensables à la poursuite d'études supérieures, y compris dans le monde agricole.
J'étais là, je m'en souviens !
C'est déjà ce que dit la première phrase de l'alinéa !
Madame la présidente, M. de Fournas a sous-entendu que l'amendement était mal écrit, alors qu'il vise seulement à supprimer le début de la seconde phrase de l'alinéa 2 – il suffit de savoir lire.
Pour votre information, le candidat Rassemblement national ne s'est pas qualifié au second tour des élections législatives : je lui ai mis treize points dans la vue…